Catégorie

Évènements

L’ENSACF participe à « Mai à vélo » → 01 au 31.05.25

En mai, pédalez sans compter avec le ministère de la Culture et l’ENSACF sur l’application Géovélo !

 

Avec des animations tout au long du mois de mai, l’événement national « Mai à Vélo » vise à développer la pratique du vélo partout sur les territoires. C’est bon pour la santé… et pour l’environnement !

C’est dans ce cadre que le ministère de la Culture propose à tous ses agents de participer au défi d’activité « Mai à Vélo ».

 

Relevons le défi ensemble !

Ce défi encourage les participants à parcourir le plus de kilomètres possibles du 1er au 31 mai 2025, en enregistrant leurs déplacements à vélo dans l’application Géovélo. La somme totale des kilomètres roulés par les membres de la communauté du ministère pendant le défi apparaîtra dans un classement accessible sur l’application Géovélo.

 

Comment participer ?

  1. Tout d’abord, téléchargez l’application Géovélo, disponible sur Google Play ainsi que l’App Store.
  2. Rejoignez la communauté du Ministère en cliquant sur le lien dédié ou en scannant le QR code ci-dessous.
  3. Ensuite, vous serez invités à sélectionner la structure à laquelle vous appartenez.

 

 

 

 

Rejoignez aussi la communauté de l’ENSACF !

 

En plus de celle du ministère, l’École a aussi créé sa propre communauté !

Toutes les communautés de l’École, enseignants, administratifs et étudiants, peuvent participer et rejoindre l’équipe.

 

 

 

En mai, rejoignez l’équipe de l’ENSACF et relevons le défi !

En scannant le QR code ci-dessus.

Classement à retrouver à partir du 1er mai ICI

 

 

Des cadeaux à gagner !

Pédaler, c’est déjà gagnant ! Et pour encourager la participation, les agents ayant parcouru le plus de kilomètres pour le ministère et des agents participants tirés au sort recevront des cadeaux.

Cette opération est coordonnée par la Mission pour la transition écologique et le développement durable et la délégation à l’information et la communication (DICOM) du ministère de la Culture.

 

Fête du jardin et du tiers paysage → 22 au 25.04.25

Écologies à l’œuvre : de l’éco-féminisme aux jardins du tiers paysage

Concevoir avec le vivant, agir pour le vivant, prendre sa part, prendre soin

 

Dans le cadre de l’enseignement « Expérimenter-Faire-Vivant »

Laetitia BELALA, Hugo RECEVEUR, Bertrand RÉTIF

En collaboration avec Agir pour l’Égalité et les associations étudiantes

 

 

Concevoir avec le vivant fait appel à 3 propositions pour cette semaine : penser, observer et expérimenter. Ces 3 propositions auxquelles ces rencontres sont dédiées trouvent une place privilégiée, ici, dans le jardin de l’école. Une approche particulière donne le ton à ces rencontres et à la fête du jardin, c’est celle de l’éco-féminisme contemporain qui, par son activisme, réactive les fondamentaux et les perspectives d’avenir (une écologie à la fois humaniste, radicale et à la fois une écologie appliquée comme expression de nos modes de vie et de nos habitats renouvelés).

Sont invités, lors de ces rencontres, philosophes, éthno-botanistes, écologues, anthropologues, paysagistes, naturalistes, artistes, urbanistes… pour dialoguer avec les architectes et pour éclairer nos lanternes sur les apports récents de l’écosophie, de l’éco-féminisme, de l’écologie des paysages, de l’écologie humaniste, des manifestes ou activismes de tous genres qui sont à l’œuvre actuellement ou qui visent à prendre soin de la terre, à prendre soin de tous les vivants dans leur extraordinaire diversité…

Le propos, l’objectif de ces rencontres est « d’ouvrir les chakras », d’échanger nos regards sur ce monde complexe en mutation, d’apporter des clés pour comprendre, de partager nos réflexions pour ouvrir les portes des alternatives ambiantes et se faisant, tenter de répondre aux questions du moment qui nous concernent tou·te·s… à savoir comment s’orienter, atterrir, bifurquer, se soulever, s’engager…

Agir pour le vivant, d’accord. Oui mais comment ? Par quoi on commence ? Peut-être qu’il faut commencer par le début pour parvenir à repenser nos modes de vie et nos actions ; c’est-à-dire se poser d’abord la question de l’éthique, et donc d’une pensée écologique renouvelée, d’une « écosophie pour la vie » comme la nomme Arne Naess, une écosophie qui nous aide à nous orienter dans la jungle du greenwashing mondialisé et dans le bouillonnement du monde des idées. Pour cela, il y a nécessité à faire un éclairage et à trouver des points de repère. C’est l’objet de ces rencontres.

À l’occasion de la Fête du jardin du tiers paysage, nous partons de l’idée que les jardins offrent un tissage infini de connexions, de liens au vivant. Cela incite à une « Lecture du vivant à la croisée des chemins politiques et sensibles ». Ce temps de partage vise à questionner le bien commun pour trouver des formes d’engagements ou d’actions qui font sens.

« Eden et jardin planétaire, quels sursauts naturo-culturels régénérateurs ?

Le jardin exprime l’art même de vivre, de se situer et de transformer un monde qui expose tout autant aux munificences qu’aux cataclysmes. Naissances, sapiences et ressourcements sont au cœur des questionnements quant à la nécessité d’une nouvelle boussole du prendre soin, entre éthique, esthétique et politique, pour reprendre et perpétuer des manières vivifiantes d’exister et cohabiter. » (Chris Younès)

Le jardin conçu comme espace mais surtout comme pratique culturelle qui accorde une place privilégiée à l’accueil de la diversité sous toutes ses formes, le jardin peut être aussi conçu comme « laboratoire du Tiers paysage », ce à quoi le jardin Sabourin aspire devenir un jour prochain.

Si le jardin est conçu comme « prototype du ménagement », dans le sens de prendre soin de ce qu’Il y a de plus précieux, la diversité des formes du vivant, peut-il être transposable à l’échelle d’un territoire ?

Entre l’enjeu de reconsidérer la préséance du vivant dans toutes ses expressions, qui implique de revoir nos modes de vie, et l’enjeu de relocaliser la production alimentaire plus proche de nous, en valorisant les cultures populaires, comment se saisir de cette question ? À partir de quelles expériences ? Quelles alternatives ambiantes ou émergentes ?

 

Bertrand Rétif,
paysagiste concepteur, enseignant Villes et territoires

 

 

 

—Les étudiant·e·s « Expérimenter-Faire-Vivant »

Yann BONNET, Fanette FANGEMANN, Maxime GALMICHE, Sarah JUÉ, Angèle MARTINAUD, Corentin PELE, Romain PRAT CAPILLA, Valentine REYES, Guillaume ROUX, Hoai Nam VU

 

—Agir pour L’Égalité

Brigitte FLORET, Kenya Fleming, Lucie GUERREIRO, Aude PINEAU

 

 

 

 

 

Télécharger le programme

Exposition VÉLODÔME → 25.03 au 30.04.25

EXPOSITION VÉLODÔME

Le pavillon de l’ENSA Clermont-Ferrand pour le projet Archi-Folies 2024

Par le collectif Vélodôme, enseignant.es et étudiant.es

Du 25 mars au 30 avril 2025

Entrée libre de 9h à 17h

Salle d’exposition de l’ENSACF

Vernissage le 03 avril à 17h30

 

Archi-Folies, un projet pour apprendre en faisant

Le projet Archi-Folies a été proposé à l’ensemble des Écoles d’architecture par le ministère de la Culture, constituant ainsi le premier projet coordonné de design-build à l’échelle nationale, dans le cadre des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Au-delà des objets architecturaux produits, ce projet a été l’occasion pour chaque école d’expérimenter la mise en place d’un tel enseignement avec ses contraintes propres d’une part, et de mutualiser, comparer et éprouver les pratiques pédagogiques mises en place par chaque établissement avec un cahier des charges commun, d’autre part.

L’idée était que chacune des 20 Écoles d’architecture s’associe à une fédération sportive française, pour produire un pavillon qui fera la promotion d’un sport auprès du grand public pendant toute la période des JOP de Paris 2024.

Ce projet inédit de design-build à l’échelle nationale traduit la volonté du ministère de la Culture de développer les pédagogies expérientielles dans les Écoles d’architecture en profitant du contexte des jeux de Paris de 2024.

 

Cette exposition propose ainsi de retracer la participation de l’ENSA Clermont-Ferrand au projet Archi-Folies, sous la forme d’un retour d’expérience produit par les étudiant·es ayant participé au projet pour poursuivre la dynamique pédagogique. Elle tente de mettre en parallèle une organisation pédagogique, le vécu des étudiant·es et le processus de production d’un objet architectural, illustrés par des documents de travail, de la photographie, des vidéos et des témoignages.

 

Une réponse engagée

L’équipe du projet Vélodôme a souhaité, dès l’esquisse, proposer une réponse engagée au regard des crises environnementales et sociales que le monde traverse, dans un contexte de Jeux olympiques et paralympiques critiquables sur leur impact négatif sur ces questions, et au sortir d’un mouvement « ENSA en lutte » (2023) qui a rappelé la nécessité de faire des enjeux écologiques une priorité.

La conception du projet a été guidée par l’idée d’émettre une proposition alternative à l’acte de construire dans ces grands événements internationaux, en imaginant des installations temporaires en matériaux biosourcés, géosourcés et de réemploi, qui soient simples à assembler et désassembler, tout en projetant le réemploi du pavillon post-événement au service du territoire auvergnat, de manière pérenne.

 

 

Photos : Collectif Archifolies

Calendrier du projet Archi-Folies

Juin 2022

Lancement de l’appel à candidature par le ministère de la Culture

2022-2023

Année universitaire dédiée à la conception du projet

2023-2024

Année universitaire dédiée à la construction du pavillon

Septembre 2024

Démontage des pavillons

 

Une équipe

_Étudiant·es

2023 – 2024

Maël Barbier, Marie Barraud, Nathanaël Beaumont, Salma Bensoudaria, Morgane Colombier, Laura Czaicka, William Fres, Adrien Goenaga, Lou Hermabessière, Benjamin Macron, Vincent Neuvy, Claire Pannecoucke, Thibaud Perret, Elsa Rodde, Raphaël Sabatier, Arthur Thuizat, Lino Turpin, Martin Vacarie

Mais aussi Fabien Barbat, Amélie Blanchet, Matéo Dubroca, Victorien Gas-Clavaud, Aymeric Geiser, Clémence Guidat, Margaux Mazure et Ugo Pirlo.

2024 – 2025

Amandine Alexandre, Alice Continsouza, Benoît Hakimi, Adélaïde Large, Florence Lernout, Zoé Merceron, Benjamin Rayon, Ihor Ruban, Inès Rulence, Véronique Salib, Louis Veillard

 

_Enseignant·es et encadrants

ENSACF

Quentin Chansavang, Jérôme Lafond, Alice Delattre

Les Grands Ateliers

Sylvain Mongellaz

BE structure

Alexandre Bagros-Murat

Administration et logistique ENSACF

Sylvie Échaubard, Jérémie Chomat

 

_Partenaires

Hébrard tailleur de pierre, Scierie Borie, Scierie Montmartin et fils CMB, Simonin, Serge Ferrari, Würth, STDM, Atelier des couleurs, Buzon, BTMC, Fibois, Communes Forestières, Rhônapi, Les Compagnons du Devoir

Midis de la médiathèque #9 → 05_03_25

Mercredi 05 mars 2025

Médiathèque de l’ENSACF_12h30 → 13h30

 

La vie sociale des haies 
Enquête sur l’écologisation des mœurs 

Par Léo Magnin

Animation de la rencontre : Catherine Gauthier

 

Tandis que le monde devient de moins en moins habitable, peut-on déceler les indices d’une transformation des manières d’interagir avec l’environnement ? Dans le sillon de Norbert Elias étudiant la civilisation des mœurs à partir du mouchoir, Léo Magnin interroge l’écologisation des mœurs à travers un objet ordinaire : la haie. Car si les arbres et buissons ont une vie biologique bien connue, leur vie sociale mouvementée reste à découvrir. 
Massivement détruites lors de la modernisation agricole après 1945, les haies sont désormais plébiscitées en tant que réservoirs de biodiversité, puits de carbone, sources d’énergie renouvelable, freins à l’érosion et trames paysagères. Comment expliquer un tel revirement ? En enquêtant sur les traces de requalifications des haies : l’inquiétude exprimée par un éleveur face à leur protection, les hésitations d’un planteur dans sa parcelle, le coût de l’entretien, le goût de l’élagage, l’étude scientifique du bocage, sa cartographie numérique, son étonnante politisation gouvernementale et villageoise, etc. 
Des cours de fermes aux dorures ministérielles, La Vie sociale des haies investigue ainsi les différentes dimensions du processus d’écologisation, dessinant les dynamiques sociales qui s’essoufflent, se poursuivent ou se réinventent à l’épreuve des enjeux environnementaux. Suivre le dédale des haies éclaire les zigzags de l’histoire qui configurent les contradictions de notre présent, mais aussi ses tâtonnements prometteurs… 

 

 

Léo Magnin est sociologue, chargé de recherche au CNRS et membre du Laboratoire interdisciplinaire Sciences innovations sociétés (LISIS). Il est l’auteur, avec Rémi Rouméas et Robin Basier, de Polices environnementales sous contraintes (Rue d’Ulm, 2024).

 

Catherine Gauthier est socio-anthropologue et réalisatrice. Maîtresse de conférences à l’ENSACF, elle a en charge l’enseignement de l’anthropologie de l’Espace Public et les démarches participatives et concertations habitantes en Master.

 

 

 

JOURNÉE PORTES OUVERTES

Retrouvez-nous

Samedi 15 février 2025

de 9h à 17h 

Télécharger ici toutes les réponses pour candidater à l’ENSACF

 

Les équipes et les étudiants de l’École de Clermont-Ferrand se mobilisent pour vous présenter les formations proposées, vous renseigner sur les conditions d’admission et vous offrir une vue d’ensemble de notre établissement !

 

 

4 présentations des études en architecture à l’ENSACF à 9h30, 11h30, 14h et 15h30 par Hélène GUICQUERO, directrice des études, de la professionnalisation et des relations internationales, en compagnie des équipes pédagogiques  > Grand amphithéâtre

 

Des visites guidées en continu toute la journée 

Ces visites sont conduites par les étudiants de l’école avec, au programme, exposition commentée par les enseignants et étudiants des ateliers, de la salle informatique et de la médiathèque. 

 

Des expositions des travaux des étudiants 

Les visiteurs sont invités à naviguer à travers les diverses étapes de nos pédagogies, à appréhender les défis contemporains relevés progressivement, et à saisir les thématiques essentielles défendues par l’école.  

 

Exposition « L’architecture en temps de crise » 

Autour de ce thème, tous les exposants appartiennent à l’idée d’une « École Clermontoise » par le lien qu’ils entretiennent avec l’École nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand : ils en sont diplômés, enseignants, anciens étudiants ou anciens enseignants. 

> Rez de chaussée, salle d’expositions 

 

Exposition mobilités à l’international 

Retour des étudiants partis en mobilité (Allemagne, Italie, Arménie, Japon, États-Unis…) 

> À retrouver au rez-de-chaussée côté ouest 

 

Les associations 

Les associations de l’école sont présentes à la cafétéria (RDC) pour présenter leurs rôles au sein de l’école. 

ARCHI’MADE : vend aux entreprises et aux cabinets d’architectes des prestations de service.  

ARCHI RECycle : développe la pratique du vélo à l’école. 

ASA : regroupe les sportifs de l’école. 

BDEa : renforce la cohésion entre les promotions avec des pots, sorties et soirées.  

Grand angle : propose des ateliers photo/vidéo et œuvre pour animer et communiquer autour des événements  

de l’école. 

Lacharette : mène des actions culturelles et sociales ainsi que des workshops. 

LA COOP’ : propose des prix attractifs aux étudiants concernant les fournitures.  

Le Germinarium : mène des actions de sensibilisation à l’environnement et à notre mieux-vivre en communauté. 

SOA – Sound Of Architects : rassemble les amoureux de musique, musiciens ou non. 

UNEAP – Union nationale des études en architecture et paysage : représente les étudiants en architecture et en paysage auprès de différentes institutions et commissions. 

 

Restauration sur place 

Le point CROUS de l’école sera ouvert de 10h à 15h. Les associations vous proposent également de quoi grignoter. Retrouvez-les nombreux dans la cafet’ toute la journée ! 

 

 

 

Retrouvez les vidéos :

  • de présentation de l’École : ici
  • de présentation par Simon TEYSSOU, architecte et directeur : ici
  • de présentation des études par Hélène GUICQUERO, directrice des études et des relations internationales : ici
  • des interviews d’étudiants :  ici

Retrouvez également :

  • les modalités d’inscription ici 
  • toutes les infos sur les études à l’ENSACF ici 
  • toutes les ressources disponibles à l’ENSACF (médiathèque, ateliers, audiovisuel, informatique, etc.) ici 

 

 

 

 

 

Olivier Malclès, nouveau directeur de l’ENSACF au 1er février 2025

M. Olivier Malclès a été nommé directeur de l’École nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand (ENSACF), par arrêté de Mme la ministre de la Culture le 13 janvier 2025. Il prendra ses fonctions le 1er février 2025.
 
Olivier Malclès est architecte, formé à Saint-Étienne, Lausanne et Lyon. Il a obtenu pour son diplôme, soutenu en 2002, le prix de la jeune architecture de la Ville de Lyon. Il a dès lors travaillé dans plusieurs agences et exercé en libéral. Il a supervisé de multiples projets : espaces publics, édifices et projets urbains ; il a été mentionné lors de la 7e édition d’Europan.
Il a enseigné le projet d’architecture et le projet urbain à Saint-Étienne, Clermont-Ferrand et Paris-Est. Maître de conférences depuis 2011, il a été directeur de Master, responsable de la première année et responsable du pilotage de l’apprentissage.
Olivier Malclès connait bien l’École de Clermont-Ferrand pour y avoir enseigné de 2008 à 2018. Il y a successivement été élu à la Commission de la pédagogie et de la recherche et administrateur.
Le 1er février 2025, il succédera à Simon Teyssou, directeur depuis 2019.
Olivier Malclès souhaite porter l’affirmation de la spécificité disciplinaire de l’architecture, l’exigence et l’invention pédagogique, le développement des partenariats ainsi que le bien-être des étudiant·e·s et des personnels, afin de contribuer à faire de l’ENSACF une école exemplaire, à la pointe sur les questions qui interrogent l’architecture aujourd’hui.

L’ENSACF est à Auversup 2025

Retrouvez l’École nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand du jeudi 16 au samedi 18 janvier 2025 sur le salon Auversup.

 

Des membres de l’équipe pédagogique ainsi que des étudiants seront là pour vous accueillir et vous présenter les études en architecture. Vous pourrez vous renseigner sur Parcoursup et les modalités d’inscription, sur la filière et ses spécificités, sur l’école et ses engagements.

L’ENSACF vous propose également une présentation des études en architecture par Hélène Guicquéro, directrice des études, de la professionnalisation et des relations internationales, le vendredi 17 janvier à 11h. N’hésitez pas à y participer.

Et pour plus de renseignements, venez échanger avec nos enseignants et nos étudiants : l’école ouvrira ses portes le samedi 15 février de 9h à 17h.

 

Télécharger la plaquette de l’école

En savoir plus sur Auversup

 

Journée Portes-ouvertes → 15.02.25

Retrouvez-nous Samedi 15 février 2025
de 9h à 17h !

  

Les équipes et les étudiants de l’École de Clermont-Ferrand se mobilisent pour vous présenter les formations proposées, vous renseigner sur les conditions d’admission et vous offrir une vue d’ensemble de notre établissement ! 

  

  

4 présentations des études en architecture à l’ENSACF à 9h30, 11h30, 14h et 15h30 par Hélène GUICQUÉRO, directrice des études, de la professionnalisation et des relations internationales, en compagnie des équipes pédagogiques   

> Grand amphithéâtre 

  

Des visites guidées en continu toute la journée  

Ces visites sont conduites par les étudiants de l’école avec, au programme, expositions commentées par les enseignants et étudiants des ateliers, de la salle informatique et de la médiathèque.  

  

Des expositions des travaux des étudiants  

Les visiteurs sont invités à naviguer à travers les diverses étapes de nos pédagogies, à appréhender les défis contemporains relevés progressivement, et à saisir les thématiques essentielles défendues par l’école.   

> Dans les étages de l’école 

  

Exposition « L’architecture en temps de crise » 

Autour de ce thème, tous les exposants appartiennent à l’idée d’une « École Clermontoise » par le lien qu’ils entretiennent avec l’École nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand : ils en sont diplômés, enseignants, anciens étudiants ou anciens enseignants.  

> Rez de chaussée, salle d’expositions  

  

Exposition Mobilités à l’international  

Retour des étudiants partis en mobilité (Allemagne, Italie, Arménie, Japon, États-Unis…)  

> Rez-de-chaussée  

  

Les associations  

Les associations de l’école seront présentes à la cafétéria (RDC) pour présenter leurs rôles au sein de l’école.  

ARCHI’MADE : vend aux entreprises et aux cabinets d’architectes des prestations de service.   

ARCHI RECycle : développe la pratique du vélo à l’école.  

ASA : regroupe les sportifs de l’école.  

BDEa : renforce la cohésion entre les promotions avec des pots, sorties et soirées.   

Grand angle : propose des ateliers photo/vidéo et œuvre pour animer et communiquer autour des événements de l’école.  

Lacharette : mène des actions culturelles et sociales ainsi que des workshops.  

LA COOP’ : propose des prix attractifs aux étudiants concernant les fournitures.   

Le Germinarium : mène des actions de sensibilisation à l’environnement et à notre mieux-vivre en communauté.  

SOA – Sound Of Architects : rassemble les amoureux de musique, musiciens ou non.  

UNEAP – Union nationale des études en architecture et paysage : représente les étudiants en architecture et en paysage auprès de différentes institutions et commissions.  

   

  

Télécharger le livret « Candidater à l’École de Clermont-Ferrand – FAQ »

 

  

Retrouvez les vidéos : 

  • de présentation de l’École : ici 
  • de présentation par Simon TEYSSOU, architecte et directeur : ici 
  • de présentation des études par Hélène GUICQUERO, directrice des études et des relations internationales : ici 
  • des interviews d’étudiants :  ici 

 

Retrouvez également : 

  • les modalités d’inscription ici 
  • toutes les infos sur les études à l’ENSACF ici 
  • toutes les ressources disponibles à l’ENSACF (médiathèque, ateliers, audiovisuel, informatique, etc.) ici 

  

  

  

 

 

Troisième Table ronde « l’architecture en temps de crise » → 17.12.24

→ Mardi 17 novembre à 18h30 à la Médiathèque de l’ENSACF

 

TABLE RONDE #3

Habiter sous pression climatique

 

La crise met à mal les conditions connues de l’habitat terrestre et les dérèglements climatiques s’imposent à l’architecture en produisant de nouvelles conditions d’habiter. Dans ce contexte nouveau, mais durable, où se situe l’invention architecturale ? À quels desseins répond-elle ? Quelles formes prend-elle ?

Comment l’architecture participe au dessin de nouvelles géographies ?

 

Modération : Laurie Gangarossa, enseignante ENSACF

Avec : Boris Bouchet Architectes, Luc Léotoing (paysage urbanisme), Stéphane Bonzani (docteur en philosophie, professeur HDR), Rémi Laporte, enseignants ENSACF

 

Retrouver l’intégralité des tables rondes L’architecture en temps de crise ICI

 

Photo page d’accueil : Réhabilitation d’une loge médiévale en gite à Plauzat_©Boris Bouchet Architectes et Urbanistes

 

Midis de la médiathèque #7 → 11.12.24

Mercredi 11 décembre 2024 à 12h30 à la médiathèque,

Simon Teyssou s’entretient avec Dominique Machabert

À propos d’Álvaro Siza et du livre « Celui qui n’écrivait pas ».

 

De la conversation qu’il a avec Álvaro Siza, depuis plus de 35 ans, et après plusieurs ouvrages et écrits, Dominique Machabert a décidé d’un nouveau livre et d’un drôle de titre : « Celui qui n’écrivait pas ». Car si l’on n’ignore pas que Siza dessine « comme un ange » (l’ouvrage compte aussi de nombreux dessins), on a longtemps cru, en revanche, qu’il était éloigné de la chose écrite.

Les 65 textes de Siza (sur presque 800), choisis, traduits et présentés dans ce nouveau volume, témoignent du contraire et met en avant ce qu’écrire déroule et installe, fut-ce discrètement, jamais loin du silence et à portée du geste, une pensée.

Aborder l’architecture et l’architecte par ses textes pouvait alors éclairer d’une lumière spéciale le personnage immense qu’est devenu Álvaro Siza.

 

 

Note biographique

Dominique Machabert est auteur et enseignant à l’ENSACF. Sa relation avec le Portugal où il séjourne souvent, et plus largement avec le monde lusophone, l’a conduit à écrire, à traduire, à publier et à se faire, plutôt que spécialiste, conteur et interprète d’une tendance dite de l’École de Porto devenue malgré sa relative discrétion un mouvement majeur et incontournable dans la production architecturale contemporaine.

 

 

Photo : Luis Calau