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Architecture

APPEL À CANDIDATURES jusqu’au 22 décembre minuit

SANA est le nouveau dispositif d’incubation proposé par l’ENSACF afin d’accompagner les jeunes agences d’architecture dans leur développement.

Lancé au début de l’année 2023, cet incubateur est pensé comme un accélérateur d’agences créées il y a moins de 5 ans et qui ambitionnent de penser et de construire l’architecture autrement. Dans la lignée des valeurs de l’ENSACF, centrées sur la ruralité, les villes moyennes et la transition écologique, cette nouvelle formation se veut tournée vers les pratiques innovantes de l’architecture.

Pourquoi SANA ? Sana signifie sain en latin et fait référence à l’architecture de l’ENSACF, installée dans l’ancien sanatorium de la ville de Clermont-Ferrand. Un incubateur pensé pour accompagner une architecture saine, en résonance avec les valeurs de l’ENSACF.

 

Comment candidater ?

SANA est ouvert à toutes les entreprises d’architecture créées ou reprises depuis moins de 5 ans et immatriculées en France. Les candidatures sont ouvertes aux agences d’architecture de maîtrise d’œuvre inscrites à l’Ordre des Architectes proposant une pensée alternative et innovante ou à des entreprises innovantes agissant sur le cadre de vie (urbanisme, paysage, AMO).

La date limite de réception des dossiers est fixée au jeudi 22 décembre à minuit.

 

Retrouvez toutes les informations pour candidater dans les documents à télécharger ci-dessous.

 

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Les 20 directeurs des ENSA signent une tribune commune sur l’enseignement de l’architecture.

TRIBUNE également parue dans le Monde du 2 décembre 2022

 

L’architecture est un acte de transformation de l’espace. Dans un monde en mutation accélérée, dont le modèle de développement épuise les sables d’Australie pour construire des tours à Dubaï, où la climatisation généralisée et énergivore peut diffuser les virus, où 100 millions de personnes vivent sous la menace de la submersion marine, où les milieux naturels se dégradent plus vite qu’ils ne peuvent se régénérer, l’acte de concevoir et de construire a plus que jamais un impact sur la sauvegarde de la planète Terre et de sa population.

Jamais l’architecture, ses métiers, ses disciplines, ses formations n’ont été dans un rapport aussi immédiat aux enjeux contemporains. C’est précisément au moment où l’habitabilité du monde est en question que le rôle des écoles d’architecture se rappelle à tous. Ce rôle réside en premier lieu à former ceux qui concevront, qui transformeront et qui prendront soin des nouveaux milieux au sein desquels les sociétés pourront s’épanouir.

Pour ce faire, les écoles d’architecture disposent d’une spécificité remarquable : elles offrent un environnement de formation, de construction de la pensée et de construction de l’action qui repose sur la culture de projet, dans un élan à la fois partagé, prospectif et responsable.

 

Attractivité

Quand tout pousse à davantage d’architecture, l’architecte, lui, voit sa reconnaissance professionnelle diminuer. Rares sont aujourd’hui les maîtres d’ouvrage privés qui confient le suivi de chantier à l’agence qui en a dessiné les plans ; cette désarticulation des liens savants entre conception et réalisation démultiplie les effets de non-maîtrise du projet global.

Face aux enjeux de lutte contre le réchauffement climatique et de sauvegarde de la biodiversité, le retour et le développement des pratiques pluridisciplinaires des métiers de la construction et de l’aménagement sont fondamentaux pour développer les nouveaux modèles à faible impact.

Par ailleurs, la France est le pays d’Europe qui recense le moins d’architectes avec 30 000 architectes inscrits à l’ordre, contre 56 000 en Espagne, 111 000 en Allemagne et 160 000 en Italie. L’âge moyen des architectes français, 51 ans, laisse imaginer la pénurie à venir d’ici la prochaine décennie. Moins d’architectes n’ont jamais produit plus d’architecture.

Les effectifs des vingt écoles nationales supérieures d’architecture (ENSA) se sont stabilisés à hauteur de 20 000 étudiants depuis une vingtaine d’années. Dans le même temps, les effectifs d’étudiants nationaux ont progressé de plus de 28 % et ceux des écoles d’ingénieurs publiques de 52 %. L’attractivité de la formation est pourtant là, puisque le taux d’accès moyen national sur Parcoursup est de seulement 13 %.

 

« Les ENSA ont inscrit l’écoconstruction, l’intervention dans l’existant, la régénération des territoires, la médiation, le numérique et les activités de recherche dans la formation initiale »

 

Cette attractivité est le témoin des efforts considérables entrepris par les écoles depuis les réformes de 2005 et 2018, inscrivant les établissements dans l’enseignement supérieur. Les ENSA ont multiplié les doubles cursus avec les écoles d’ingénieur, d’art, de paysage, de commerce, les instituts de sciences politiques et d’urbanisme ou les universités. Elles ont inscrit l’écoconstruction, l’intervention dans l’existant, la régénération des territoires, la médiation, le numérique et les activités de recherche dans la formation initiale.

Elles ont créé de nombreux diplômes de spécialisation dans le patrimoine, les risques majeurs, la conception postcarbone ou l’urbanisme, ouverts à plusieurs cursus d’origines diverses. La population étudiante en formation initiale est paritaire (60 % de femmes), mixte (30 % de boursiers), issue de toutes les filières de baccalauréat, auxquelles s’ajoutent les formations professionnelles continues et l’apprentissage. Le résultat est une insertion professionnelle des diplômés après trois ans à 85 % dans leur domaine de compétence, et à 82 % avec un emploi stable.

Les écoles délivrent toutes des thèses de doctorat, complétant le cursus LMD (licence master doctorat), ainsi que l’habilitation à la maîtrise d’œuvre permettant l’inscription au tableau de l’ordre. Elles ont créé des laboratoires de recherche reconnus par les organismes nationaux comme le CNRS, et sont lauréates d’appels à projets de premier plan lancés par l’Agence nationale de la recherche ou les plans d’investissement d’avenir.

L’architecture est en relation directe avec les entreprises du bâtiment, secteur qui doit complètement se restructurer pour atteindre les objectifs de la transition écologique. Les ENSA sont à même de porter des chaires industrielles permettant le développement de nouveaux matériaux et modes de construction, de valorisation des déchets ou de recyclage, ou encore de stratégies de réemploi.

 

Un enjeu sociétal

De nouveaux modèles d’agences émergent pour accompagner les acteurs publics et privés dans la transition et la transformation. Ces structures peuvent être accompagnées par des incubateurs au sein même des ENSA, comme dans toutes les grandes écoles, afin de porter ces innovations à un stade de développement autonome.

À l’invitation de la Commission européenne, qui appelle à la création d’un Nouveau Bauhaus pour répondre aux enjeux climatiques, et à l’appui de la stratégie nationale de l’architecture, nous appelons à un investissement massif dans les écoles d’architecture afin de former les futurs acteurs de la transition.

Toutes les écoles pourront dès lors atteindre une taille critique efficiente, et de nouvelles formations à l’architecture pourront s’ouvrir dans les régions qui en sont dépourvues (Centre-Val-de-Loire, Bourgogne-Franche-Comté, outre-mer). Il faut former plus d’étudiants à l’architecture (les futurs maîtres d’ouvrage, ingénieurs, urbanistes) pour partager une culture commune, et former plus d’architectes aux métiers d’avenir.

La formation en architecture n’est pas un enjeu professionnel, c’est un enjeu sociétal et environnemental.

 

Les directeurs des vingt écoles nationales supérieures d’architecture sont signataires de cette tribune. Il s’agit de :

Philippe Bach (Paris-Val de Seine), Didier Briand (Bretagne), François Brouat (Paris-Belleville), Sophie Chabot (Lyon), Philippe Cieren (Strasbourg), Hélène Corset Maillard (Marseille), Pierre Fernandez (Toulouse), Jean-Baptiste de Froment (Paris-Malaquais), Raphaël Labrunye (Normandie), Éric Lengereau (Nantes), Cédric Liebert (Saint-Etienne), Pablo Lhoas (Lille), Gaëlle Perraudin (Nancy), Jean-Christophe Quinton (Versailles), Caroline Lecourtois (Paris-La Villette), Amina Sellali (Paris-Est), Simon Teyssou (Clermont-Ferrand), Thierry Verdier (Montpellier), Marie Wozniak (Grenoble), Camille Zvenigorodsky (Bordeaux).

 

EXPÉRIENCE ET REPRÉSENTATION_Exposition L2

« La muraille de Chine »

24 novembre → 08 décembre 2022

Salle d’exposition_ENSACF

 

Dans la continuité des enseignements fondamentaux concernant la représentation visuelle et les expressions plastiques proposés en L1, cet enseignement a pour ambition de lier l’expérimentation et la représentation, le sensible et le technique, l’existant et la fiction.

Inviter les étudiants arrivant en 2e année à se saisir des outils multiples de la création plastique et graphique en lien avec l’architecture.

Apprendre à saisir les données d’une expérience et les rendre sensibles par l’expérimentation.

Plonger l’étudiante dans une expérience esthétique par la manipulation des modes de représentations graphiques, volumétriques et spatiales. Mettre en place une dynamique de création afin de permettre aux étudiants d’expérimenter leur propre sensibilité et de s’exprimer en conséquence. Il s’agit aussi, par cet atelier, de venir questionner et nourrir l’activité purement projectuelle en décloisonnant expérimentation, conception et représentation.

Chaînés en trois phases, l’enseignement APV et l’enseignement RA sont liés à un existant, cette année l’édifice clermontois communément appelé « La muraille de Chine » qui est en cours de démolition.

Ce projet de déconstruction/démolition de La Muraille de Chine est porté par l’Entreprise Publique Locale Assemblia. L’opportunité d’avoir accès aux espaces de la Muraille en voie de déconstruction a été possible grâçe à Olivier Agid (artiste intégré au projet de déconstruction), l’équipe ATR de l’ENSACF le remercie chaleureusement pour son attention et sa grande disponibilité.

 

Les travaux de l’ensemble des étudiants réalisés durant les trois phases de travail sont ici regroupés lors de cette restitution.

 

Photo : Entreprise IRIS

ARCHÉTYPES, LIEUX, EXPÉRIMENTATIONS_exposition

Exposition  LICENCE 1 – 2022-2023

Jusqu’au 18 novembre 2022 | Salle d’expo de l’ENSACF

 

La deuxième séquence du semestre vise à explorer les archétypes de l’architecture. Nous partons du postulat que toutes les architectures, à travers tous les âges, peuvent être pensées comme étant issues d’un nombre restreint d’archétypes. Savoir les caractériser permet de les convoquer comme instruments de compréhension, d’analyse et de conception. Les archétypes deviennent des outils efficaces pour rendre compte de l’expérience que l’on fait des lieux construits lorsqu’on les parcourt. Ils permettent de décrire aussi bien l’architecture savante que l’architecture vernaculaire. Au sens large, l’archétype est l’image primordiale, l’image mère, celle qui alimente les images personnelles et qui les nourrit à partir d’un même fonds archaïque.

 

Pendant trois séances, trois archétypes de l’architecture sont expérimentés.

 

L’archétype Masse – Creuser ou Agglomérer pour faire rentrer la lumière. Soustraire et assembler la matière pour ménager un espace, créer un parcours. Rechercher différentes qualités de lumière: directe, second jour, filtre… Le projet parle de quelque chose de monolithique ou d’unitaire.

L’archétype Filigrane / Penser l’assemblage structurel comme poésie de l’espace. Générer une forme spatiale en assemblant des éléments identiques. Penser une spatialité structurelle et la question du rythme dans le parcours. Le projet parle de répétition, de quelque chose de sériel.

L’archétype Plan / Penser l’espace comme matière. Modeler le vide à partir d’une disposition d’éléments disjoints. Rechercher des continuités non matérielles. Penser le parcours comme continuum. Le projet parle de flottement, de disparition de l’enveloppe, de cadrage, de paysage.

La séquence s’achève, par un workshop d’une semaine dans l’ancienne carrière de Durtol qui offre un temps offert au tâtonnement, par la confrontation concrète au faire, par l’implication de chacun dans un travail collectif de construction, par l’engagement du corps, par la perception immédiate des forces et de la résistance des matériaux. Ce temps donne l’occasion d’aborder de manière enjouée les expériences originelles de l’installation, de la construction et de redécouvrir les émergences du sentiment d’abri. Autant d’opportunités, à partir d’exercices simples, de questionner les premiers gestes du construit et du bâti : installation dans un site, édifications éphémères utilisant les matériaux présents sur place (briques, tasseaux et lattes de bois, sable), expérimentation des structures de base…

 

Enseignants : Marc-Antoine Durand, Jérôme Lafond, Magdeleine Lounis, Marie-Hélène Gay-Charpin, Frédéric Martinet

Moniteurs : Nathanaël Peronnet, Pierre Solier, Sophie Billerault, Andranik Shahmirian, Antonin Nguema Ondo

 

TABLE RONDE Autour de la 16e édition du concours Europan

À l’occasion du Forum Europan qui se tiendra à Clermont-Ferrand les 3, 4 et 5 novembre

 

VILLES VIVANTES

VITALITÉS MÉTABOLIQUES — VITALITÉS INCLUSIVES

 

Mercredi 02 novembre 2022

18h30 > 20h

salle d’expo de l’ENSACF

 

EXPOSITION DES PROJETS

02 > 04_11

salle d’expo_entrée libre

 

Concours d’idées d’architecture et d’urbanisme biennal, Europan propose depuis 1990 aux professionnels de la conception urbaine, paysagère et architecturale âgés de moins de 40 ans de travailler sur une thématique spécifique et sur des sites réels.

La 16e édition du concours Europan « Villes vivantes, des projets-processus créatifs pour régénérer les milieux habités », a primé, au niveau international, 127 équipes. Parmi elles, 17 étudiants diplômés de l’École de Clermont-Ferrand.

 

5 équipes :

ATELIER OBSERVARE → La ville comme un organisme vivant – BIENNE (CH)

Collectif Carré Noir → The Cure: Anatomy and Regeneration of a Critical Metabolism – LIMOGES (FR)

Itera → Les Petits Ventres-Villes – LIMOGES (FR)

Julie Maillard, Zélie Davodeau → Le Sol, le Roseau et le Cycliste – NAMUR (BE)

NOU(E)S → Vi[e]abiliser – AULNAT (FR)

 

©Visuel : LIMOGES (FR) – RUNNER-UP
The Cure
Associés : Félix Roudier-Canler (FR), Victor Dussap (FR), Marc Viaud (FR), Nathanaël Pinard (FR) – architectes

 

Le dialogue architectural France-Portugal / Conférence

Dominique Machabert, auteur et enseignant en architecture

 

Médiathèque Jack-Ralite (Croix-de-Neyrat) à Clermont-Ferrand
Samedi 15 octobre 2022
14h > 16h

 

À l’occasion des Journées nationales de l’architecture, Dominique Machabert se propose de rendre hommage aux grands architectes portugais et plus particulièrement Alvaro Siza dont la Piscina del mares, près de Porto, a été distinguée par la Fondation Getty, ainsi qu’à Souto De Moura, architecte de la Comédie de Clermont-Ferrand.

 

Avec la Maison de l’architecture Auvergne et l’ENSACF

 

En savoir plus

 

Photo : Piscine des marées © D. Machabert

 

CETTE SEMAINE…

RENCONTRE-DÉDICACE

Gwenn GAYET-KERGUIDUFF, Marianne JAKOBI et Mathilde LAVENU

Autour de l’ouvrage « Le Corbusier : figure patrimoniale ? » publié aux Presses Universitaires Blaise-Pascal en 2020.

Le 29 septembre à 17h30 à la Librairie Les Volcans

 

« Figure inéluctable en architecture comme en histoire de l’art, l’œuvre de Le Corbusier fait l’objet de nombreuses recherches menées depuis le XXe siècle. Ce volume propose de relire la production architecturale de Charles-Edouard Jeanneret à travers le prisme de deux notions importantes : la figure et le patrimoine. Désormais considéré comme un modèle dans le cadre de l’enseignement dispensé dans les universités et les écoles nationales supérieures d’architecture en France, il semblait d’actualité de renouveler notre regard sur cette œuvre pour évaluer de nouveau l’architecture, puis l’architecte.
L’ouvrage réunit les actes d’une journée d’étude menée conjointement et pour la première fois, par des chercheurs du Centre d’Histoire « Espaces et Cultures » de l’Université Clermont Auvergne ainsi que de l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Clermont-Ferrand. »

 

 

CAFÉ ARCHI

Les cités jardins (cités Michelin au XXIe)

avec la sociologue Amélie FLAMAND et l’historienne et architecte Bénédicte CHALJUB

Le 26 septembre 2022 à 20h au café-lecture Les Augustes

 

La discussion s’articulera autour du projet scientifique Les cités Michelin (Clermont-Ferrand). Un patrimoine vivant pour la ville de demain.

 

Valorisation de la résidence de sensibilisation

Pour la 5e édition de résidence de sensibilisation à « l’architecture, la ville, le paysage » auprès du jeune public, Anne-Sophie Gouyen et son projet « Les 3 petits maçons» et le binôme Alexandre Cheikh (architecte) et Justine Dhouailly (comédienne) et leur projet intitulé «Le laboratoire des milieux imaginaires» ont travaillé durant les temps scolaires avec les écoles Alphonse Daudet et Romain Rolland à Clermont-Ferrand et durant le temps périscolaire auprès des centres de loisirs de la Ville.

Projet construit avec la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, la Ville de Clermont-Ferrand, l’Éducation nationale et les établissements scolaires.

 

Exposition du 16 juin au 7 juillet 2022 Hall d’exposition Médiathèque Croix de Neyrat

Vernissage : jeudi 16 juin à partir de 15h, Médiathèque Croix de Neyrat

 

 

En savoir plus sur les projets :

 

  • Les trois petits Maçons

Une proposition de Anne Sophie Gouyen, architecte

La résidence de sensibilisation à l’architecture, la ville et au paysage à Clermont-Ferrand à l’ENSACF avec Pixel[13] en 2022, a été l’occasion de réfléchir au pouvoir de la ré-écriture du conte traditionnel pour changer de regard sur la construction écologique et sensibiliser le jeune public. Cette expérience a permis de travailler sur un livret pédagogique autour d’une nouvelle histoire des Trois petits cochons, qui accompagnait des ateliers pratiques d’expériences de la matière et de la construction autour de trois matériaux du nouveau BTP : Bois, Terre, Paille. 

 

Ateliers avec les enfants du Centre de loisirs Mercœur et la classe de CE1 de l’Ecole Primaire Romain Rolland

 

 

  • Le laboratoire des milieux imaginaires : mission 0,1,2,3,FÊTE.

Une proposition de Alexandre Cheikh, architecte et Justine Douailly, comédienne

La résidence de sensibilisation à l’architecture, la ville et le paysage à l’ENSACF avec Pixel[13] en 2022 a été l’occasion de combiner les outils de l’architecture et du théâtre pour inviter le jeune public à découvrir autrement et transformer l’espace habité et pratiqué au quotidien.

Avec leur corps et leurs mots, les enfants ont raconté leur propre histoire sur la salle de classe, le centre périscolaire ou l’espace public.

Ensuite ils ont projeté ensemble leurs rêves, puis ils ont construit en bois et en tissu les fruits de leurs imaginaires.

Enfin, ils ont invité leurs camarades ainsi que les passants à fêter leurs transformations en les guidant à travers « la maison de tous les animaux de la galaxie » ou « le diamant observatoire de la ville ».

 

Ateliers avec les enfants du Centre de Loisirs Jules Valles et la classe de maternelle de l’école Alphonse Daudet

 

Exposition Le temps long du projet

Dans le cadre de la programmation biennale autour de la thématique « L’architecture est un artisanat », l’École nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand inaugure la première exposition d’étape de la biennale « Le temps long du projet ».

Les exposants sont tous représentants de l’École clermontoise, diplômés de l’ENSACF et/ou enseignants.

 

  • Bénédicte Chaljub – Étude historique pour la reconversion de la Maison Carrée
  • Éric David, Agence AMAS – « L’Autre Soie, restructuration et reconversion du Foyer Jeanne d’Arc »
  • Pierre Dufour, Antoine Dufour Architectes – « Gestion du site de l’ancien camp de concentration de Natzweiler-Struthof »
  • Clément Fabre – « Grotto » Abri de vigne en terre crue
  • Amélie Flamand et Lorette Klepper – « Vivre dans un village de vacances » : Enquête sociologique au village de vacances de Vernet-la-Varenne, accompagnée d’un reportage photographique de Benoît Alazard

 

La programmation biennale est proposée par la Commission de valorisation de la culture architecturale (CVCA).

 

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